« Quand on aime, on ne compte pas » dit un proverbe.
J’aime les coudre, les Symphorines de Dame Valiste, mais surtout, j’aime m’en servir.
J’utilise beaucoup la mienne, donc j’espere que celles que j’offre seront utiles.
Pour La Fourmi, je suis partie sur le thème des fleurs. Celles d’entre vous qui fréquente son blog savent qu’elle aime les fleurs.
Au départ, un napperon chiné, brodé en rouge à la main au point de tige et ajouré sur le pourtour.
De plus près, vous constaterez que quelques chose cloche, n’est ce pas ?
Non?
Apres avoir quilté et monté la pochette, j’ai VU !
Le napperon est monté à l’envers !!! A ce stade démonter etait peu envisageable sans dégât. Alors j’ai trouvé un fil assez semblable et j’ai brodé la fleur de gauche.L’autre option eut été de ne pas l’offrir, mais Emmanuelle et Muriel, qui sont si perfectionnistes, m’ont appris aussi à prendre les choses comme elles sont. Réaliser ses ouvrages avec intention, en donnant le mieux de soi, mais en restant dans le registre de la joie de faire.
De plus, je voulais être » à l’heure » pour son anniversaire (pour une fois !) et plus de disponibilité devant moi. J’assume !
Pochette de dos, j’ai quilté dans certaines tiges. Le but premier du quilting est de solidariser les épaisseurs.
La fleur brodées en plus – le quilting- la dentelle – doublure en vieux drap chiné- chiné aussi le bouton rouge.
La pochette fut garnie de quelques babioles aimée des mercières : boutons, charms…et de beaucoup d’Amitié.
LA FOURMI VIENT DE POSTER UN ARTICLE SUR LA POCHETTE. (CLIC)
(clic ici aussi pour découvrir
un pan de notre histoire commune)
Pour voir d’autres Symphorines, ici, ici et je m’aperçois que il y en a 3 que je n’ai même pas prises en photo !!
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