Autour d’un thé, j’ai eu le plaisir de retrouver Emmanuelle au mois d’octobre. C’est toujours un bonheur de se retrouver.
Emmanuelle n’était pas arrivée les mains vides , mais avec un cadeau de saison qui s’est logé tout de suite à sa place dans mon décor de saison.
Je m’étais réalisé des carrés à démaquiller avec de la polaire sur une face, que j’avais peu utilisé, je trouvais cela désagréable sur la peau. Puis avec une éponge souple et usagée, ce fut mieux mais pas encore satisfaisant. Et là, une nuit de cette semaine où je ne dormais pas , sur une idée de Cécile, une copiNETte de Facebook, je me suis cousu ces carrés pile-poil ce qui me va : une face nid d’abeille ( vieille serviette), une face coton issu d’un vieux pantalon de pyjama. (On ne rit pas : oui, j’ai eu un pyjama « Snoppy » pas vous ?)
Du pur recyclage, ces carrés, donc, dans la lignée vers moins de déchets (ou #zero dechets et #zerowaste mais j’en suis loin même si je progresse.) …quoique chez moi le tissu ne part à la poubelle qu’en dernier ressort quand il a fini sa carrière de vieux chiffon. Les vêtements usagés partent à Emmaüs, ou pour etre recyclés ou revendu selon l’état. Parfois, ils attendent une seconde vie dans mon atelier.
Ces carrés sont très agréables à utiliser. Je les mets dans un filet une fois utilisés et les joint à la lessive. (j’ai deux filets et en tout 12 carrés) . Le pochon ne me sert que quand je voyage.
Ce matin j’ai eu la surprise d’un article de ce blog si riche « Ouvrages de Dames » (clic) avec des costumes de bains de 1878. Justement, j’avais en préparation cet article que j’aurais voulu posté en début de mois: vaut mieux tard que jamais et l’été est encore bien installé !
Pour vous baigner, ce costume ci-dessus, décrit ainsi : Il est en serge marine ou noir à volonté; pantalon bouffant serré par un caoutchouc au dessus du genou; grande blouse montée en fronces sur un empiècement de forme triangulaire et brodé d’une ancre et réuni à la taille par une large ceinture de cuir. Une berthe de de lainage rouge ou blanc , suivant la nuance du costume, tourne, tourne tout autour de l’empiècement. Petit bonnet marmotte en soie écossaise assortie.
Ou préféreriez -vous celui-ci ?
Voici le texte d’accompagnement : Il est en serge bleu marine. pantalon bouffant à poignet; blouse avec un col marin de flanelle blanche brodée d’une ancre à chaque coin et se terminant en pointe à la taille; large plastron à rayures en jersey; manches courtes à ballons serrées par un étroit poignet.
Ou encore celui-ci :
Il est en serge marine; pantalon court et bouffant; serré par des caoutchouc et terminé par un plissé de lainage ou de toile. Longue blouse en serge, serrée à la taille et au cou par une cordelière de laine et garnis de plissés. Bonnet marmotte en soie bleue.
Dans les commentaires de l’article du blog Ouvrages de Dames, des questions se posaient sur la pratique réelle des bains de mer, aussi j’ai scanné l’article sur les Bains de Mer de la revue LA FAMILLE du 12 août 1894. Le voici en image, mais en dessous il est en PDF, il faut le télécharger pour pouvoir le lire (et l’agrandir pour le déchiffrer plus facilement)
Plein de conseils sont donnés : Attendre quelques jours après son arrivée sur place avant de se baigner, les premiers bains dureront que de 3 à 5 minutes. Les bains seront ensuite de 5 à 10 mn et il est conseillé de se précipiter dans sa cabine de bains et d’y prendre un bain de pieds chaud. Entre des sessions de 20 à 25 bains, il est indiqué de respecter une interruption de 8 à 10 jours.
Après le bain, on s’habille :
Voici une tenue complète pour faire « Au revoir » au bateau promenade qui va caboter le long de la côte.
Pensez qu’au dessous, la personne porte le « pantalon » ( culotte) fendue, la chemise de corps longue , le corset, le couvre corset, les jarretières tenant les bas les bas qui pour les plus fins étaient quand même assez épais : il valait mieux des étés frais, non ? Si l’histoire de ces sous-vêtements vous intéresse, regardez ce PDF (clic)
Une autre « robe de plage »
Un peu de sport ?
Et le soir, une visite au Casino s’impose :
« Celle -ci est en foulard à petits pois ; jupe cloche montée à fronces autour de la taille et cerclée de 5 rangs de velours noir; le dos du corsage est entièrement plat ainsi que les hauts au devant remplacé à la hauteur de la poitrine par une draperie froncée se croisant en fichu sur un plastron froncé lui-aussi . Ceinture en pointe croisant derrière et revenant se fixer sur la poitrine par un joli chou de velours. Grand col de velours avec chou derrière. Manches ballons bien enlevées (??)s’arretant aux coudes »
Pour finir, voici la planche en couleurs représentant des robes de l’été 1894 (juillet 1894) Il y en avait une par trimestre qui paraissait dans certaines formules d’abonnement.
Les qualités d’images sont piètres et irrégulières. Les revues sont reliées en un livre ancien de grand format. J’obtiens des résultats difficiles sur le scanner de l’imprimante ( épaisseur et poids du livre que j’abîme en le manipulant ainsi , des résolutions pas formidables avec le scanner du téléphone, et l’appareil photo n’est pas non plus très adapté. Mais vous avez une idée de la mode cette année là et j’espere que cela vous aura amuser !
Hors-Sujet : Moi qui suis complexée avec mes bras en aile de chauve-souris, je me dis que ces manches gigot avaient au moins le mérite de les cacher !! ( 2 eme degres, hein !!) 🙂
PS: cet article n’a rien à voir avec l’actualité !!! (quoique, quand on y réfléchit !!)
Sur le blog, voici une invité d’honneur : Muriel du blog » VERVEINE ET LIN », qui partage son expérience de recyclage. Je lui laisse la parole.
Il faut une pile de vieux journaux, un manche à balai, un seau, une cagette et un coupe-papier.
Je coupe les feuillets de mon journal au format d’une demi-page
Je mets à tremper dans un seau d’eau une nuit
Le matin, je m’installe dans le jardin : je prends une douzaine de feuillets, je les enroule autour du manche à balai. Je serre bien pour essorer au maximum
Je recommence avec un deuxième, voire un troisième paquet, jusqu’à ce que le diamètre me convienne (une dizaine de centimètres) toujours en essorant bien
Je termine avec une feuille seule qui maintiendra le rouleau bien fermé
Je retire délicatement du manche à balai
Je dépose sur une cagette et je mets à sécher dehors à l’ombre toute la journée. Le soir, je mets ma cagette au garage, où les bûches vont continuer de sécher jusqu’à l’hiver.
Il paraît que le rendement est équivalent à une bûche du même diamètre. De toute façon, ça réduit les déchets et ça sera toujours efficace pour allumer le feu !
Merci Muriel d’avoir partagé cette astuce avec nous.
Plus le temps passe et plus nos vies sont remplies. Aussi nous apprécions quand il nous est donné de se concocter une « bulle » d’Amitié. Ce fut le cas un bel après-midi ensoleillé de la semaine dernière, Emmanuelle est venue jusqu’ à moi. Nous n’avons même pas pensé à prendre une photo. Pourtant Emmanuelle portait élégament le très beau tee-shirt « jasmin » en jersey de lin qu’elle vous montre sur cet article. Et j’ai bien été gâtée, comme vous pouvez le voir. Regardons en détail.
Et de bonnes infusions en perspectives avec des plantes du jardin d’Emmanuelle : verveine citronnelle et menthe chocolat, bio, s’il vous plait !
MERCI EMMANUELLE !
Pour l’occasion, nous avons testé positivement un gâteau au citron original.
Imaginez la texture d’un fondant avec un goût de citron « juste comme il faut » .
Le citron a été cuit 2 fois une heure dans deux eaux, puis refroidit dans l’eau froide. Cela vous intrigue ?
Voici juste de petites touches qui me font plaisir.
Une personne du SEL (Système d’échange Local) a pris le temps de faire le tour de mon jardin à l’automne et m’ a expliqué plein de choses, dont la façon de tailler. A priori, ça a fonctionné ! J’ai aussi remis un peu de terreau au pied et je lui ai parlé gentiment. 🙂 (au chèvrefeuille , mais j’espere aussi au monsieur !)
Le distinguez-vous parmi tout ce vert ?
Nous avions un magnifique Mimosa, que voici en 2011.Comme vous le constatez, il menaçait de tomber sur la maison en cas de grand vent. Nous avons du le couper. Quel crève-cœur !
Ce genre d’arbre donnent plein de rejets mais quand nous sommes revenus l’an dernier, les derniers rejetons était … chez la voisine. Elle nous en a redonné un.
Que nous avons replanté hier. Lui aussi je lui parle gentiment. 🙂
Des fleurs qui durent assez longtemps pour qu’on en profite. Un sempervivum (joubarbe) mais lequel je sois plancher sur les identifications. Sempervivum, parce que cette plante est toujours verte l’hiver comme l’été.
Décor provisoire sous l’appentis. Une des hampes graciles de cette autre succulente fleurie s’est cassé lors de la chute de son pot : un accident de tondeuse.
La pluie qui a noyé une partie de la France ne nous a pas épargné, mais pas de drame sur Angoulême même. Les rosiers sont » rouillés » et j’ai dû couper plein de roses piquées. Nous avons arraché les iris qui n’avaient plus été entretenues depuis des années et ne donnaient plus que des feuillages abîmés et que quelques fleurs. Je recompose la plate-bande, petit à petit. Lourde tache, car il y a moult racines : de pyracanthas( quel horreur ces haies !!) du voisin et des lilas. Le week-end fut sans pluie et ce dimanche plein de soleil et de chaleur. Le Bonheur de retravailler au jardin.
Pensées aux personnes qui ont tout perdu, aux agriculteurs, horticulteurs qui ont perdu le fruit de leur travail.
Je termine sur un Petit Bonheur d’Amitié.
L’autre fois, je cherchais le titre d’un livre. Accidentellement à Cultura car nous avons à Angoulême des librairies, des « vraies » que je préfère 100 fois faire travailler. Mes explications : Je cherchais le livre d’une auteur anglaise qui a écrit un journal à la campagne qu’elle a illustré de ses aquarelles. 5 vendeurs consultés, pas d’accès à internet et je n’avais pas mon téléphone sur moi pour chercher.En une seconde, Cappuccinette consultée me répond : » Le journal champêtre d’Edith Holden » mais j’ai les « Carnets Champêtres » et son « Livre de Cuisine », tu me ferais plaisir en m’en débarrassant !!!Et de trouver dans ma boite à lettres ce qui précède, sur la photo !! Et c’est moi qui lui rend service !!! 🙂 Edith Holden est une jeune naturaliste, professeur de peinture pour jeunes filles, illustratrice de livres pour enfants, mariée à un sculpteur, et son » Journal Champêtre » est le fac simile de son journal de 1906 qui nous décrit et nous dépeint la flore et la faune de la campagne anglaise au fil des saisons.
Elle est morte à 50 ans de façon tragique noyée dans la Tamise dans laquelle elle était tombée en voulant, pour l’étudier de plus près, attraper avec son ombrelle un chaton de châtaignier.
Les carnets sont composés de la meme façon que le Journal. J’avais envie de m’inspirer des ces aquarelles, car je me suis offert une boite de crayons aquarellables, les précédents avaient 34 ans d’age et désormais, il est impossible de trouver, comme autre fois, les crayons « de remplacement » à l’unité chez Carand’ache , malheureusement ! Et une boite sans verts, sans rouges est plus difficilement exploitable.« Y-a-pu-ka »! (trouver le temps)
Pour commencer, recevez mes souhaits et voici le nouveau petit coin du jardin .
C’était un projet niché dans un coin de ma tête , mais en chinant hier soir, j’ai trouvé pour 3 sous ce bouddha, ce pot blanc, le soleil qui est une attache de rideau. Et le socle est une ancienne fontaine qui ne fonctionnait plus que je gardais en socle de plantes (alibi pour qu’elle ne parte pas dans le cadre du « Désencombrement. » ^^.
Pour La Fourmi particulierement et vous tous et toutes, voici les 3 sortes de pavots Kokopelli que j’ai dans le jardin cette année.
Sûrement un « Papaver glaucum », mes étiquettes ont disparut durant l’hiver.
Peut-être un Pavot d’Espagne – Papaver rupifragum
Sûrement « Papaver rhoeas «
Ce chèvrefeuille, planté il y a 30 ans, je l’ai toujours vu végéter, fleurissant à peine. Depuis 4 ans, il était considéré comme mourant. Je l’ai bichonné, taillé drastiquement et il fleurit pour me remercier cette année. 🙂
Le rosiers de l’escalier du jardin aussi me récompense, grâce à Julien du SEL (système d’échange local) m’a expliqué comment tailler. Je suis très hésitante, mais au moins je vois des résultats, car l’an dernier, j’ai bien cru que lui aussi, planté en 1978, était en fin de vie. Il a recu aussi pas mal de peau de bananes en « offrande » à ses pieds , il est dit qu’elles sont bénéfiques aux rosiers.
Les roses du jardin :
La descente d’escalier un peu fouillis
Autres roses :
Vous avez aperçu les nigelles bleues avec les pavots oranges et voici les blancs mélés aux iris.
Petite bordure nouvelle mais oui!! j’aurais dû mélanger les couleurs de pensées… A vrai dire je ne pensais pas qu’elles auraient survécus, car elles étaient mal en point quand je les aient plantées ( 5 euros les 36 pots un peu « passées ») avec des capucines qui pointent leurs feuilles…
Nous avons fait mettre la palissade en retrait du muret « légal » pour le quartier et nous habitons devant une école et cet interstice recevait pas mal de détritus. Les géraniums sauvages « Herbes à Robert » ont résolu le problème en végétalisant l’espace , plus besoin de me demander ce que je pouvais semer. Personne n’ose lancer des déchets sur des fleurs 🙂
Et c’est avec le joli bouquet de jardin que m’a offert ma voisine que je vous souhaite
Nous séjournons en Bretagne dans un lieu dit La Haute Houssais, près du village de Saint Maden dans les Cotes d’Armor . Je vous expliquerais dans un autre article comment nous avons été amené découvrir ce coin de Bretagne. Je vous offre une ballade qui n’est pas descriptive, juste des clichés que j’ai eu envie de partager. Nous sommes mi-mai. Ce lieu est le « BRITANNY COUNTRY GITE », où nous sommes accueillis par nos hôtes, Gabrielle et Stuart, qui ont façonné cet endroit en étroite collaboration avec la nature. Il s’agit d’une ferme et de deux gites. En voici un : Chacun des deux gîtes a son jardin privé. Ci-dessous, une partie du jardin rattaché à la grange (Barn)
Chacun des deux gîtes a son jardin privé, réservé à votre usage pour la durée de votre séjour et vous pourrez comme moi vous promenez dans leur bois et dans la ferme. Venez, je vous emmène !
Voici les canards ! N’ont-ils pas une allure élégante ?
« Il fait beau, je fais la planche ! » ou « se reposer les doigts de pieds en éventail »
Ne seriez-vous pas bien là, à lire, rêver ou méditer ?
Le bassin de phytoépuration jouxte la mare. Le bassin de phytoépuration alimenté par l’eau de pluie recueillie dans un réservoir installé sous les gouttières de la maison et les eaux « grises »( cuisine, douche, lave-linge) Le système racinaire des plantes absorbe les composés chimiques (nitrates et phosphates) et décompose les polluants ménagers et l’eau traitée par les plantes alimente la mare. ( je cite Stuart Anderson)
Ou un petit tour d’escarpolette ? Qui est au loin ?
Une de ces surprise que j’adore dans ce lieu.( non, ce n’est pas un vrai !)
» Les canards coureurs indiens (ce sont les canards blancs) sont une race très utilisée en permaculture. Infatigables chasseurs de limaces, ils sont relativement légers et causent peu de dommage au potager. «
Passons chez les poules.
Je vais terminer la visite par un bout de la fresque qui orne le préaux de la ferme :
Nous nous sommes reposés, j’ai encore découvert des aspects bretons différents, comme à chaque visite dans cette belle région de France. Je ne m’attendais pas du tout à une ferme de ce genre, encore « formatée » par la vison des fermes picardes de mon enfance et influencée par les videos de permaculture que j’avale depuis un an.
Pour celles et ceux que cela intéressent Stuart tient un blog sur la permaculture en Bretagne, avec la traduction en Français des principes de permaculture.Rendez- vous ICI (clic)
La permaculture ? Je débute mais dans le hors-série cité plus haut que l’on m’a prêté, il y a celle-ci :
« La permaculture est un aménagement consciencieux du paysage, qui imite les modèles trouvés dans la nature pour produire en abondance de la nourriture, des fibres, et de l’énergie pour combler les besoins LOCAUX. »
La semaine dernière, une agréable visite !
Bien qu’en contact quasi quotidien, avec Patricia, nous ne nous étions pas revue » en vrai »depuis 2013 (clic) Vive le Pont de l’Ascension !
Nous avons Visité Angoulême, bien sûr, des librairies, des magasins de tissus ( cela vous etonne ? ^^) mais aussi pris le temps dans l’Atelier.
Le fourre tout de gauche est le mien, Patricia a appris à coudre une pochette sans couture apparente et le fourre-tout que je vous proposais dans cet article. Sans le faire exprès, j’ai trouve les motifs de tissus du tuto originel. Le bouton chiné va bien avec les motifs du tissu, je trouve.
Tissus du magasin « Oasis » d’ Angoulême. Patricia n’est pas venue les mains vides :Des tissus, des boutons, des bobines,des boucles d’oreilles ( je ne sors jamais sans boucles d’oreilles), des dentelles qui viennent de famille, des galons, un filet joyeux tout rose. Le tout dans un sac avec un papillon, vous savez combien j’aime les papillons ! Et ce n’est pas tout !
Un échantillon de spécialités du nord.
Douze ans d’Amitié nous lient, vive le net qui permet de belles rencontres !
Je vous souhaite avec ces clochettes un Joli Mai, et du Bonheur toute l’année !
Ce matin, 3 mai, les clochettes roses du muguet de ma voisine se sont ouvertes. Elle m’en a offert un gros bouquet. Et j’ai cueilli un bouquet de lilas blanc. Ma maison sent bon le printemps ! Dommage que je ne puisse pas partager cela avec vous, qu’avec les photos!Ce bouquet est composé d’un lilas « sauvage » qui pousse le long d’une voie ferrée désaffectée. Il sent vraiment plus fort que le lilas de mon jardin et j’adore cette odeur.
COMMENT GARDER UN BOUQUET DE LILAS : Je suppose que vous savez que pour garder le lilas plus longtemps, il faut fendre le bas des tiges ou les écraser avec un marteau pour favoriser l’absorption de l’eau et mettre un morceau de charbon de bois ou 2 gouttes d’eau de javel afin d’éviter la moisissure qui pourrait boucher les canaux de la sève et l’absorption de l’eau. Les lilas sont gourmands en eau, n’hésitez pas à en remettre. Tous les deux jours, raccourcissez un peu les tiges.
La déco de ce printemps 2016 est peu différente de celle de Pâques, j’ai gardé la cage , mais les œufs ont été mangé ! et un petit tapis de table avec un imprimé oiseaux de chez REINE de Montmartre a été fabriqué rapidement.(anecdotique : le vase du lilas est fabriqué avec des isolateurs d’anciennes lignes électriques refondus)
Un petit quilting sans façon pour ce chemin de table aux couleurs gaies. Mes mains me permettent grâce au régime hypotoxique de quilter, c’est devenu quasi un plaisir, meme si je fait de grands points ! (Merci à Murielet Emmanuelle de m’avoir décomplexée en m’ expliquant que le plaisir de créer et la bonne volonté sont prioritaires aux diktats de base)