Pesto de fanes de carottes, Le pain est celui de la Ferme du Maine Blanc au petit épeautre.
Dans le genre « Gourmandises salées express » , il n’y a pas mieux au printemps. Un de mes Bonheurs Simples est de réceptionner à la Ruche-Qui-Dit-Oui mon cageot de légumes et mon pain de petit épeautre qui viennent de chez Jean-Noel. Cliquez et allez faire un tour sur le site de la ferme LE MAINE BLANC. Je ne suis pas plus que cela » soupe » et au printemps, qu’allais-je faire de mes jolies fanes de carottes ? Et Zou, j’ai trouvé Chez Veggiegastronomie la recette qui va bien, mais adaptée aux fanes de 6 carottes. Les amandes replacent le traditionnel parmesan des pesto.
Eléments tous bio : Fanes de 6 carottes , 10 amandes, une petite gousse d’ail et à peine 3 cuillerées à soupe d’huile d’olives. Mixer. Goûter et saler ( chez moi, sel rose de l’Himalaya) C’est Prêt !
Même L’Homme-De-Ma-Vie a aimé, trop aillé pour lui car j’avais de grosses gousses d’ail donc j’ai précisé « une PETITE gousse d’ail dans les éléments de la recette.
Profitant du temps pluvieux qui interdit toute activité au jardin, je vous présente une de mes pensionnaires depuis environ 9 mois : Une Euphorbe « trigona » pour faire simple.
N’est-elle pas originale ? Elle a une forme de cactus et des épines, mais c’est une succulente. C’est une euphorbe. Mais comme il existerait plus de 2 000 espèces d’euphorbes… Plus exactement » La famille des Euphorbiacées comprend 8.100 espèces dont 2.000 environ appartiennent au genre Euphorbia. » (citation du site en lien sous l’article) Elle a aussi un autre nom que j’ai eu du mal à trouver » Trigona ». Ceci étant dû à sa tige à 3 cotés. Sans en être sûr, il est souvent dit que son origine serait l’Angola. En milieu naturel cette plante peut atteindre les 1,80 m. Elle ne doit pas être exposer à des températures inférieurs à 10 ° . Du coup, c’est une des rares plantes qui ne sort pas de la véranda tenant compagnie à ma Passiflore. Euphorbia trigona est aussi appelée parfois « Arbre à lait » à cause de l’aspect de sa sève (toxique) ou « Cactus de l’Amitié ». Elle aime le soleil alors une fenêtre plein sud est un endroit idéal pour le placer et 4 heures minimum de bonne lumière par jour. Un bon drainage est nécessaire et vaporiser un peu la terre que si elle est sèche. Ma véranda lui va comme un gant !
Elle se bouture très bien mais je n’ai pas encore testé.
Euphorbe « trigona » a une cousine qui lui ressemble fort : Euphorbia Trigona Rubra. C »est essentiellement la même plante, mais avec de belles feuilles rouges profonds.
Précautions: Attention la sève des Euphorbes est toxique.Cliquez pour trouver les renseignement du centre anti-poisons. Porter des gants et des lunettes pour la taille ou le rempotage des euphorbes. Se laver soigneusement les mains à l’eau et au savon après tout contact avec la sève. Mes informations viennent d’échanges sur des forums et d’articles divers d’Internet. Si vous avez des précisons, je suis preneuse.
Ce sera tout pour aujourd’hui : avez-vous été intéressé par cet article ?
Bonne journée malgré le temps maussade ! Mais c’est l’occasion de rejoindre mon atelier de couture, et vous ?
Pour commencer, recevez mes souhaits et voici le nouveau petit coin du jardin .
C’était un projet niché dans un coin de ma tête , mais en chinant hier soir, j’ai trouvé pour 3 sous ce bouddha, ce pot blanc, le soleil qui est une attache de rideau. Et le socle est une ancienne fontaine qui ne fonctionnait plus que je gardais en socle de plantes (alibi pour qu’elle ne parte pas dans le cadre du « Désencombrement. » ^^.
Pour La Fourmi particulierement et vous tous et toutes, voici les 3 sortes de pavots Kokopelli que j’ai dans le jardin cette année.
Sûrement un « Papaver glaucum », mes étiquettes ont disparut durant l’hiver.
Avec des nigelles bleues et les Belles de Jour.
Peut-être un Pavot d’Espagne – Papaver rupifragum
Sûrement « Papaver rhoeas «
Illustration botanique extraites des Plantes médicinales de Köhler, Franz Eugen Köhler (1887).Chèvrefeuille 27 mai 16
Ce chèvrefeuille, planté il y a 30 ans, je l’ai toujours vu végéter, fleurissant à peine. Depuis 4 ans, il était considéré comme mourant. Je l’ai bichonné, taillé drastiquement et il fleurit pour me remercier cette année. 🙂
Le rosiers de l’escalier du jardin aussi me récompense, grâce à Julien du SEL (système d’échange local) m’a expliqué comment tailler. Je suis très hésitante, mais au moins je vois des résultats, car l’an dernier, j’ai bien cru que lui aussi, planté en 1978, était en fin de vie. Il a recu aussi pas mal de peau de bananes en « offrande » à ses pieds , il est dit qu’elles sont bénéfiques aux rosiers.
vesce communeVesce commune : fleurs emmêlées. Elle grimpe sur une branche élaguée du frêne voisin.
Les roses du jardin :
La descente d’escalier un peu fouillis
Rosier Mme de Sévigné.
Autres roses :
Vous avez aperçu les nigelles bleues avec les pavots oranges et voici les blancs mélés aux iris.
nigelles blanches
Petite bordure nouvelle mais oui!! j’aurais dû mélanger les couleurs de pensées… A vrai dire je ne pensais pas qu’elles auraient survécus, car elles étaient mal en point quand je les aient plantées ( 5 euros les 36 pots un peu « passées ») avec des capucines qui pointent leurs feuilles…
Nous avons fait mettre la palissade en retrait du muret « légal » pour le quartier et nous habitons devant une école et cet interstice recevait pas mal de détritus. Les géraniums sauvages « Herbes à Robert » ont résolu le problème en végétalisant l’espace , plus besoin de me demander ce que je pouvais semer. Personne n’ose lancer des déchets sur des fleurs 🙂
Et c’est avec le joli bouquet de jardin que m’a offert ma voisine que je vous souhaite
Mon coup de cœur en arrivant Chez Gabrielle et Stuart : ce visage sculpté et sa chevelure végétale. Moult détails charmants vous attendent dans chaque partie de la ferme. Oubliez vos stéréotypes de citadins !
Nous séjournons en Bretagne dans un lieu dit La Haute Houssais, près du village de Saint Maden dans les Cotes d’Armor . Je vous expliquerais dans un autre article comment nous avons été amené découvrir ce coin de Bretagne. Je vous offre une ballade qui n’est pas descriptive, juste des clichés que j’ai eu envie de partager. Nous sommes mi-mai. Ce lieu est le « BRITANNY COUNTRY GITE », où nous sommes accueillis par nos hôtes, Gabrielle et Stuart, qui ont façonné cet endroit en étroite collaboration avec la nature. Il s’agit d’une ferme et de deux gites. En voici un : Chacun des deux gîtes a son jardin privé. Ci-dessous, une partie du jardin rattaché à la grange (Barn)
Chacun des deux gîtes a son jardin privé, réservé à votre usage pour la durée de votre séjour et vous pourrez comme moi vous promenez dans leur bois et dans la ferme. Venez, je vous emmène !
La balade des canards
Voici les canards ! N’ont-ils pas une allure élégante ?
La sieste, c’est sacré !
A notre arrivée, ce mouton m’a signifié qu’il dominait la situation. 🙂
« Il fait beau, je fais la planche ! » ou « se reposer les doigts de pieds en éventail »
Ne seriez-vous pas bien là, à lire, rêver ou méditer ?
Le bassin de phytoépuration jouxte la mare. Le bassin de phytoépuration alimenté par l’eau de pluie recueillie dans un réservoir installé sous les gouttières de la maison et les eaux « grises »( cuisine, douche, lave-linge) Le système racinaire des plantes absorbe les composés chimiques (nitrates et phosphates) et décompose les polluants ménagers et l’eau traitée par les plantes alimente la mare. ( je cite Stuart Anderson)
Ou un petit tour d’escarpolette ? Qui est au loin ?
Une de ces surprise que j’adore dans ce lieu.( non, ce n’est pas un vrai !)
Le domaine des canards
» Les canards coureurs indiens (ce sont les canards blancs) sont une race très utilisée en permaculture. Infatigables chasseurs de limaces, ils sont relativement légers et causent peu de dommage au potager. «
Passons chez les poules.
Les poules, un petit bac de compost et une ruche travaillent de concert. Les Frelons asiatiques sont attirés par la ruche mais encore plus par le compost, et les poules protègent les abeilles en mangeant lesbourdons, Non les frelons asiatiques et se délectent à picorer le compost.(désolée de ma méprise première) Il y a 3 ruches. Jachère fleurie, plantes fleuries dans le potager offre aux abeilles de quoi butiner et attire les auxiliaires du jardin aidé des nichoirs et des hôtels à insectes placés de-ci de-là.
De cet autre perspective de la mare (prise à coté du bassin de phytoépuration) vous apercevez au fond le carré des aromatiques.
Carré d’herbes aromatiques.
Je vais terminer la visite par un bout de la fresque qui orne le préaux de la ferme :
ces dessins résultent d’un échange de bons procédé entre nos hôtes et un artiste. Si vous voulez en voir plus, venez donc séjourner dans ce coin de Bretagne!(clic pour vous retrouver sur le site de location).
Nous nous sommes reposés, j’ai encore découvert des aspects bretons différents, comme à chaque visite dans cette belle région de France. Je ne m’attendais pas du tout à une ferme de ce genre, encore « formatée » par la vison des fermes picardes de mon enfance et influencée par les videos de permaculture que j’avale depuis un an.
Pour celles et ceux que cela intéressent Stuart tient un blog sur la permaculture en Bretagne, avec la traduction en Français des principes de permaculture.Rendez- vous ICI (clic)
La permaculture ? Je débute mais dans le hors-série cité plus haut que l’on m’a prêté, il y a celle-ci :
« La permaculture est un aménagement consciencieux du paysage, qui imite les modèles trouvés dans la nature pour produire en abondance de la nourriture, des fibres, et de l’énergie pour combler les besoins LOCAUX. »
Je partage ma dernière découverte du jour : Histoire, jardin s’y mêlent.
Capitule 70 listant les plantes…(photo du net)
Nous sommes accueilli dans le gîte de Start et Gabrielle Anderson, dans leur ferme en permaculture ( article à venir)et Stuart m’a fait découvrirle magazine « Les 4 saisons du jardin bio »et le N° spécial sur la permaculture. Dans un des articles , on parle de « Capitulaire de villis » comme référence d’un jardin simple . exactement Capitulare de villis vel curtis imperii.
Je suis allée faire ma curieuse et il s’agit « d’un un acte législatif datant de la fin du VIIIe siècle ou du début du IXe siècle. Charlemagne y édicte à l’intention des villici, les gouverneurs de ses domaines agricoles (villæ, villis), un certain nombre d’ordres ou de recommandations qui pourront être contrôlés par les missi dominici (« les envoyés du maître »). »(Wikipedia-clic).
Le capitule (article) le plus connu est le n° 70 qui cite 94 plantes, 73 herbes, 16 arbres, 5 plantes textiles et tinctoriales que doivent cultiver les domaines.
Le dernier exemplaire de ce manuscrit,est conservé de nos jours dans la bibliothèque de Wolfenbüttel en Allemagne.
Dans cet écrit, Charlemagne indique ce qu’il veut que l’on trouve sur les terres afin que les personnes vivants sur ces domaines ne manquent de rien. On y retrouve des plantes pour la nourriture, mais aussi des plantes médicinales, des plantes pour fournir la base d’étoffes mais aussi pour la teinture. Vous en saurez bien plus en lisant ce PDF : LE CAPITULAIRE DE VILLIS ET LE DÉVELOPPEMENT DE JARDINS MÉDICINAUX par J. Barbaud (clic)
Rabanus Maurus (à gauche), soutenu par Alcuin (au milieu), présente son travail à Otgar de Mayence (à droite)
En cherchant mieux, j’ai trouvéICI, une genèse plus approfondie du Capitule de villis. Je cite : « Genèse du capitulaire : Il aurait été probablement écrit par Alcuin, un des grands scribes du roi des Francs, qui aurait rencontré Charlemagne à Parme en 781 et serait resté à ses côtés de 782 à 790. Il se sépare dumonarque pour séjourner un temps en Angleterre, son pays natal, de 790 à 793. De retour dans le royaume franc, Alcuin devient abbé de Saint-Martin de Tours en 796 et se fixe à Tours en 801. En 796, Charlemagne l’aurait missionné afin qu’il écrive un texte ayant pour vocation de réglementer la culture des plantes dans ses domaines (villae, villis). Alcuin enseignait la botanique, la pharmaceutique et l’agriculture. Précepteur et conseiller de l’Empereur, il avait dirigé l’Ecole palatine d’Aix-la Chapelle en 782. Il convenait donc parfaitement pour la tâche qui venait de lui être confiée. Au préalable, il a bien évidemment fallu collecter ces plantes, les répertorier et vérifier leurs vertus thérapeutiques, ce qui a demandé beaucoup de temps…. Lire la suite sur le lien pré-cité.
Pourquoi en faire un blabla ? Parce que je me dis que je dois y trouver les plantes de base pour mon jardin en devenir. Un inventaire de ces plantes est disponible ici (clic) de façon bien claire avec leur noms actualisés.
Chervis (source wikipédia)
En traduction rapide pour celles qui n’ont pas le temps : « Nous voulons que l’on cultive dans le jardin toutes les plantes, à savoir : lis, roses, fenugrec, balsamine, sauge, rue, citronnelle, concombres, citrouilles, gourdes (ou artichauts d’Espagne), doliques (ou mogettes), cumin, romarin, carvi, pois chiche, scille (oignon marin), glaïeul (ou iris), estragon, anis, coloquinte, chicorée amère (ou souci), ammi, séséli (ou chervis), laitue, nigelle, roquette, cresson [de terre], bardane, menthe pouliot, maceron, persil, céleri (ou ache), livèche, sabine, aneth, fenouil, chicorée, dictame, moutarde, sarriette, menthe blanche (ou nasitord), menthe, menthe sauvage, tanaisie, calament (ou cataire ou herbe à chats), grande camomille (ou centaurée), pavot, bette, cabaret, guimauve, mauve, carotte, panais, arroche, blette, chou-rave, chou, oignons, ciboulette, poireau, navet (ou raifort ou radis), échalote, cive, ail, garance, cardon, fève, pois, coriandre, cerfeuil, épure, sclarée. Et que le jardinier ai sur son toit de la joubarbe. »
Tanaisie (source wikipédia)
Dans mon mini-jardin d’apprentie sorcière jardinière, je trouve : menthe, laurier, le basilic (en devenir), thym, sauge, persil, bette, concombre ( à venir), radis, piment, cerfeuil et livèche (en devenir), laitue, iris , pavots, soucis , mauve.
Pour celles qui ne suivent que la partie « Cuisine » , je ne vous oublie pas du tout. Ce n’est pas faute de matière que je ne publie pas de recettes, ni de menus mais c’est une période intense au jardin, beaucoup de va et vient aussi parmi mes amies, des appel de l’Atelier couture, … et du coup, et bien, vous aurez du vous contenter des anciennes recettes, pour celles qui me font l’honneur d’appeler l’ancien blog « Mince je suis Gourmande » leur « Cahier de Recettes. MERCI à elles!
Sincèrement, à faire et refaire ! C’est une excellente recette pleine d’atouts , qui a beaucoup plût.
Facile, mijotée, qui se prépare d’avance et éventuellement pour les grandes tablées.
Une amie est venue pour quelques jours et je ne voulais pas passer mon temps en cuisine, donc j’ai préparé des plats qui pouvaient être cuisiné d’avance et au lieu de me contenter de mes classiques, j’ai eu envie d’innover et j’ai préparé à mes risques et périls, un « porc barbecue en mijoteuse » du site Ricardo Cuisine . Pas besoin de barbecue pour cette recette. Oui, c’est comme cela ! C’est pourquoi, pour moins de confusion, j’ai nommé la recette « Porc Ricardo ». Avec ma touche, comme d’habitude ^^.
Voici donc ma version, puisque vous avez en lien la recette originale.
Vous pouvez télécharger format PDF et/ou Imprimer les recettes à l’aide du bouton « imprimer » (icône imprimante) avec ou sans photo, avec ou sans commentaire.
Recette à la mijoteuse MAIS je pense que 6 h au four thermostat 140 ° dans uen cocotte en fonte, fera aussi bien. Par contre, ajouter 200 ml d’eau en plus.
PORC « RICARDO »
Ingrédients:
*Un kilo et demi de rôti de porc sans ficelle, à votre goût ou de l’échine, ou du filet.
* 2 boites 1/2 de concassée de tomates * 100 ml de ketchup (oui oui oui !!!!) mais j’ai diminué la dose de la recette initiale. * 4 C à café de sauce Worcestershire * 60 ml de vinaigre de cidre * 15 ml de miel ( dans la recette originale, c’est de la mélasse) * 1 C à soupe de moutarde * 2 C à soupe de sauce soja * un oignon haché * 2 gousse d’ail * 6 gouttes de tabasco
*Un kilo et demi de rôti de porc sans ficelle, à votre goût ou de l’échine, ou du filet.
* eau : 300 ml
Préparation :
* Mixer tous les ingrédients sauf le porc
* Saler et poivrer le rôti que vous déposez dans la cocotte avec toute la sauce. * Couvrir et cuire à chaleur douce pendant environ 8 heures. * On peut réduire le temps de cuisson à 6 heures en réglant la mijoteuse à chaleur élevée.
Mon mari a tellement aimé la sauce, que la viande finie, nous avons mangé le reste de sauce avec du riz, afin de ne pas en perdre une once!
Surtout si vous tester, donnez votre opinion, telle qu’elle soit et si vous voulez aussi, vos photos. Je les posterais à la suite de cet article en le rééditant.
La semaine dernière, une agréable visite !
Bien qu’en contact quasi quotidien, avec Patricia, nous ne nous étions pas revue » en vrai »depuis 2013 (clic) Vive le Pont de l’Ascension !
Nous avons Visité Angoulême, bien sûr, des librairies, des magasins de tissus ( cela vous etonne ? ^^) mais aussi pris le temps dans l’Atelier.
Le fourre tout de gauche est le mien, Patricia a appris à coudre une pochette sans couture apparente et le fourre-tout que je vous proposais dans cet article. Sans le faire exprès, j’ai trouve les motifs de tissus du tuto originel. Le bouton chiné va bien avec les motifs du tissu, je trouve.
Tissus du magasin « Oasis » d’ Angoulême. Patricia n’est pas venue les mains vides :Des tissus, des boutons, des bobines,des boucles d’oreilles ( je ne sors jamais sans boucles d’oreilles), des dentelles qui viennent de famille, des galons, un filet joyeux tout rose. Le tout dans un sac avec un papillon, vous savez combien j’aime les papillons ! Et ce n’est pas tout !
Un échantillon de spécialités du nord.
Douze ans d’Amitié nous lient, vive le net qui permet de belles rencontres !
Bonjour, Pour vous accueillir ce jour, un de mes bonheurs quotidiens : admirer les roses du jardin.
Donc ce jour, je vais vous parler d’un arrosage solaire . Quand je voyais ce qui suit dans des jardins, je trouvais cela d’un mauvais goût !!
Voila l’explication avec cette image : Une bouille de 1,5 L coupée au milieu et remplie d’eau. Une bouteille de 5 L (récupérée prés de copains) coupée en bas, comme une cloche, le tout posé SOUS le paillage . L’eau se condense sur la paroi de la cloche, redescend le long des paroi et arrose goutte à goutte la terre protégée du paillis.
Après des recherches sur le net, je n’ai vu que deux personnes pour qui ce n’était pas probant. 1/ dans une serre pas assez ensoleillée 2/ dans les deux cas pas de paillage. Les 5 ou 7 cm de paillage dans le jardin aide vraiment à ce que la terre garde sont humidité. C’est un test, donc à suivre !
Le jardin, entre le 6 et le 10 mai 2016
Le frêne spontané du fond du jardin a été étêté, il va falloir contenir les iris, on devine les coquelicots au fond mais pas de photos car il y a eu un vent à écorner les bœufs quand j’ai voulu les prendre en photo. La palette que vous apercevez en travers du potager, c’est pour éviter à un chat de se coucher sur les salades et les bettes !!!
Pour celles qui me suivent et connaissent. Nous sommes partis d’un sous bois à l’origine.
Et l’an dernier je rêvais à un mini potager encore dans mon F2 de la région parisienne, me demandant quand je rentrerais » chez moi » . Alors ce jardin, c’est un bonheur quotidien.
Voilà les progrès.
Vue d’ensemble :
Mon « entrée » que je veux organiser, là c’est un peu le désordre !
Je me suis offert plusieurs livres, mais je ne sais toujours pas ce que sont ces fleurs ci-dessus !! Et oui, La Fourmi, rien à voir avec des coquelicots !! ce sont des graines KOKOPELLI semées l’an dernier, mais j’ai perdu ma boite de sachets dans un échange de graines… et mes étiquettes se sont effacées. RÉÉDIT = ce sont des ADONIS. Merci La Fourmi
Entonnoir à lait avec des pétales de coquelicots malmenés par le vent et en fond des géraniums sauvages que je laissent coloniser le jardin en couvre sol. Géraniums sauvagesUn « sauvé » de la tondeuse, une mauvaise herbe ??C’est la fin de floraison pour les coronilles qui nous ont enchanté depuis début février cette année avec leur bonne odeur et leur jaune lumineux.
Que des graines Kokopelli que j’ai semée en bouteilles sans aucune perte et j’ai donné des plants aux copines. A priori, ca à l’air de prendre au jardin après quelques jours passés. (sauf les salades, plants acheté au marché de Ruelle)
Salades, radis, piments, tomates, courgettes, bettes, persil, menthe, thym et tomates cerises… quelques uns ne sont pas sur ce montage.
Tomates cerises, j’en ai fait 7 plants mais je ne me rend pas compte du tout de ce que cela va produire.
J’ai fait 3 plants de courgettes planté dans des sacs de terreau. J’en ai mis un avec le sac au sol, et il a été mangé en une nuit! Il est en train de se remettre. Mais j’avais ensuite mis deux autres mais qui ne repose pas directement sur la terre, et qui sont en pleine forme ! Photo ci-dessous ce 13 mai, sous la pluie. soit 5 jours après les avoir repiqués. Je crois que je vais avoir assez de courgettes pour partager avec les copines !
J’ai semé de la ciboulettes et de la livèche, mais rien ne pointe son nez en ce moment.
Pour finir, nous avons commencé à aménagé l’appentis avec de la récup :Avec des dalles de bois reliquat de l’ancien sol de la véranda, bloquées par 3 morceaux de dessus de rampe d’escaliers de jardin qui attendait là depuis la construction de la maison en 77, elles meme bloquée par des « U » en fer provenant de la découpe d’une étagère métallique. je cherche de quoi faire une sorte de canapé, pour faire la sieste, mais en recup, bien sur !! Ah! le tiraillement entre » vider, épurer » son Chez-Soi et l’allégresse de trouver usage à ce qu’on a gardé, » parce que je me disais bien que je pourrais en faire quelque chose !!! »
Qui connaît ce dilemme ?
Je vous parle bientôt d’un super moment d’ Amitié et de Partage dans un nouvel article !!
D’ici là, passez un bon week-end, malgré la météo maussade !
Je vous souhaite avec ces clochettes un Joli Mai, et du Bonheur toute l’année !
Ce matin, 3 mai, les clochettes roses du muguet de ma voisine se sont ouvertes. Elle m’en a offert un gros bouquet. Et j’ai cueilli un bouquet de lilas blanc. Ma maison sent bon le printemps ! Dommage que je ne puisse pas partager cela avec vous, qu’avec les photos!Ce bouquet est composé d’un lilas « sauvage » qui pousse le long d’une voie ferrée désaffectée. Il sent vraiment plus fort que le lilas de mon jardin et j’adore cette odeur.
COMMENT GARDER UN BOUQUET DE LILAS : Je suppose que vous savez que pour garder le lilas plus longtemps, il faut fendre le bas des tiges ou les écraser avec un marteau pour favoriser l’absorption de l’eau et mettre un morceau de charbon de bois ou 2 gouttes d’eau de javel afin d’éviter la moisissure qui pourrait boucher les canaux de la sève et l’absorption de l’eau. Les lilas sont gourmands en eau, n’hésitez pas à en remettre. Tous les deux jours, raccourcissez un peu les tiges.
La déco de ce printemps 2016 est peu différente de celle de Pâques, j’ai gardé la cage , mais les œufs ont été mangé ! et un petit tapis de table avec un imprimé oiseaux de chez REINE de Montmartre a été fabriqué rapidement.(anecdotique : le vase du lilas est fabriqué avec des isolateurs d’anciennes lignes électriques refondus)
Un petit quilting sans façon pour ce chemin de table aux couleurs gaies. Mes mains me permettent grâce au régime hypotoxique de quilter, c’est devenu quasi un plaisir, meme si je fait de grands points ! (Merci à Murielet Emmanuelle de m’avoir décomplexée en m’ expliquant que le plaisir de créer et la bonne volonté sont prioritaires aux diktats de base)
Depuis quelques jours, nous avons un superbe soleil et nous nous régalons de gariguettes de Dordogne toute proche, que nous trouvons chez les producteurs du marché.
Voila un article à « l’envers » : commençons par la fin !
Un soir, trop fatiguée pour faire quoique ce soit, je me suis plongée dans de » Vieux Échos de La Mode » chinés en plusieurs occasions. C’est paradoxal mais c’est dans un numéro de novembre 1950 et non, un numéro de printemps, que j’ai découvert les fraises si dessous.
Fraises brodées en deux heures sur un bout de drap ancien le soir suivant en regardant Morse, quelques bouts de tissus ( Eurodif) et voilà un petit cabas ! Jeudi, c’est férié ; un peu de temps pour un ouvrage de saison rapide.
Pour que vous puissiez brodez ces fraises toutes joyeuses, je vous les joins en pdf : Dpe echo mode fraisepdf.(clic).Pour enregistrer, cliquez deux fois ; au premier clic, une page s’ouvre, re-cliquer et le pdf alors s’ouvre à son tour. Il y a la page entière, l’image des fraises et la publicité séparées.
Pourquoi la publicité ? Par exemple pour faire un collage comme celui que j’avais fait autre fois sur une boite transformée en boite à épingles.
Le tuto de cette boite, qui avait été sélectionné par Prima, est encore en ligne sur mon ancien blog (clic)